Camps Vittel 20101 – Récit…

Avant de vous raconté notre épopée voici une brève présentation des athlètes et entraîneur qui étaient de la partie :

– les cadettes B :          

 Lauren Mayoraz, Morgane Borel, Camille Nemethy

– les sprint-lanceuses :  

Valérie Zünd, Débora Dell’Aquila, Alessia Dell’Aquila, Léa Savoy, Anne Thiébaud

– « l’autre » :                

David Erard

– les sprinters :              

Nicolas Contini, Sylvain Rayroud, Loïc Schaller, Simon Hollinger

– les décathloniens :     

Benjamin Badoux, Vincent Zünd, David Jordan, Alexandre Munie

– les coachs :                 

Letizia Marazzi, Claudine Badoux, Damien Giroud


 

 Et maintenant  nous allons vous narrez nos folles aventures vitteloises.

DRIING ! DRIING ! DRIING !

Un lundi de Pâques comment est-ce possible ? Ah mais oui ! Nous partons pour Vittel ! ! !

Stade de Coubertin, 6h45, les yeux mi-clos, tout le monde est au rendez-vous. Une fois les bagages et matériels chargés nous (c’est le goût)1 la petite troupe de 17 athlètes et de 3 entraîneurs, montons à bord du car pour un voyage mouvementé mais néanmoins animé. En effet, après un bref arrêt dans un café chaleureux perdu au bord de la route un TUT-TUT retentissant jaillit des entrailles du car. La panne nous menaçait ! Le moteurs surchauffé les athlètes surmotivés, ce n’est qu’après 10 minutes passé sur la bande d’arrêt d’urgence afin de refroidir le moteur, que les athlètes toujours de bon cœur (hahaha vive la rime) vaquèrent à nouveau à leurs occupations. Nonobstant le chauffer se concentrant, le groupe des stadistes étaient en piste au Carré Rouge au fond du bus sous la houlette de Dj Vinz et de Dj Lolo. Quant à certains spartiates, il jouaient aux cartes.

 Arrivés au stade vittelois ce fut la joie ! ! !  

Une fois les chambres attribuées et la surprise du lit double passée, la petite troupe passe à table. Mme Irma (elle se reconnaîtra) prédit à Anne que cette année c’est elle qui casserait quelque chose dans la file d’attente du self-service (affaire à suivre).

Après les tournantes de ping-pong menée par les coachs du PTTC2 (ils se reconnaîtront), les choses sérieuses commencent. En effet le programme concocté par Damien nous réserve pour ce premier entraînement une course d’orientation afin de découvrir les environs.

Parmi les déboussolés certains n’ont pas perdu le nord (Nico, David et Camille) quant à nous (les 4 rédacteurs) nous étions complètement à l’ouest. En gage la rédaction de cet article nous fut donc attribuée. Ce premier entraînement fut tout de même éprouvant (~10km de course).

 e souper arrivé, les yeux émerveillés nous voyons les belges ce qui tout de suite nous donne la frite (nous ne jouons pas avec les stéréotypes). Une fois de plus, la nourriture est meilleure qu’un « menu plus »3.

Ensuite soirée « Next »4 entretient avec Damien pour fixer les objectif de la saison. Malgré les apparences et les grandes espérances certains n’ont même pas tenu 5 minutes (n’est-ce pas la fashionnista ?)

L’heure tourne et le couvre-feu approche. Cette année c’est 22h00 pour les mineurs et 23h15 pour les majeurs ( c’est bien sa Damien ?).

Le lendemain, au petit matin un Damien a tué ses copains… c’est à 6h45 (et non pas à 6h47, hein la cadette ?) que nous partons pour le traditionnel footing matinal, celui-ci ce répéteras chaque matin et sera suivi d’un petit échauffement en mouvement. Le blond faillit au combat lors du 1er. Son genou, mou comme un chou, ne tint pas le coup. Ce ne fut pas moins de trois tendinites qu’ils lui ôtèrent la patate ! (Admirez le champ lexical de la pomme de terre).

A 7h30 le gratin de l’athlétisme lausannois se lance au petit déjeuner afin d’avaler le plus de vitamines B mais surtout les croissants (ou Gipfeli am Morgen pour ceux qui sont de l’autre côté de la barrière des rösti).

Après la fridge5 attitude du déjeuner chaque groupe s’élance pour l’entraînement du matin (chagrin) qui va de 9h à 11h30.

Après le repas de midi (12h30) toutes l’équipe se dirige vers le Carrefour pour faire un petit tour. Malgré l’interdiction d’alcool le professeur tournesol permit à 3 d’entre nous d’acheter des bières pour le soir. Le rayon alcool fut l’occasion de nouer un premier contact avec les brunes et les blondes (que l’on parle des bières ou des belges).

Rebolotte les marmottes, nous repartons pour l’entraînement de l’après-midi (15h30-18h). Après l’échec du matin l’échauffement consiste en un foot. C’est selon cet horaire que les journées passent et se ressemblent jusqu’à ce que tout à coup, et là c’est le drame,….

Gling ! Glang ! Glong ! La prédiction se réalise, lors de la file d’attente pour la ripaille, Anne tressaille et la bouteille de san pellegrino s’écaille se qui provoque une pagaille (quelle belle rime aïe aïe aïe). Sylvain, fin comme un ver, solidaire mais peu fier, cassa un verre quelle misère.

Le mardi soir nous avons rendez-vous pour une séance d’analyse vidéo de la saison hivernale.

L’après-midi du mercredi, se fut à notre tour de faire souffrir Damien lors de la séance de massages. Il n’y eu en effet pas moins de 11 athlètes qui défilèrent entre ses mains durant plus de 2 heures, afin de se décontracter les mollets et les cuisses endolories. Dès le lendemain c’est Damien qui avait mal au main.

Après la soirée vidéo du mardi, mercredi soir les pochards vont à la salle noire pour voir « Shutter Island ». Même si certain préfèrent entendre que voir tous le monde rentreras tard.

Ah, au fait nous allions oublié de vous dire que la fashionista avait des chaussettes dépareillées le premier soir ! ! !

Comme le veut la tradition, le jeudi soir, nous nous rendons au Pita Raclette malgré les estomacs repus ; il y a toujours de la place pour un Pita, voir deux (hein Nico ?).

Nous avions ensuite rendez-vous à 10h, à la salle de jeu, avec les belges car le soit disant lover commençais une histoire de cœur. Après une entrée complètement ratée6, la timidité pris le dessus. Nous fûmes obligé de nous exprimer sur une table de billard ce qui n’est pas notre art, en effet nous mîmes la noire. Nous perdîmes aussi la revanche ; verdict les belges ( en plus de ne manger que des moules et des frites) ont été élevé dans des bars. Malgré ce programme chargés furent respecté ^^. Le lendemain au billard nous criâmes victoire car Vincent mis la noire (dans le bon trou cette fois ci).

Le vendredi après-midi, entraînement cardio dans les gradins du stade. A la fin de l’entraînement nous avons feint l’essoufflement afin que Damien ( qui court dans son jardin en criant coin-coin)7 croie qu’il nous avait achevé. Mais les spartiates ayant toujours la patate et sachant que l’espace forme8 leur est accessible de 18h-18h30, ne se sont pas fait prié pour y aller. Ils ont en effet sprinté même si l’horloge du stade affichait 17h56. Damien en resta bouche bée en croyant nous avoir épuisé. Mais il en faut plus pour rétamer les disciple de Spartacus.

Le samedi matin, le footing en moins, le jeune Damien convoque les siens. Il y a un 3000m à l’américaine de prévu. C’est plein d’entrain que les 5 groupes formés de 3 athlètes chacun se sont élancés. Malgré la difficulté personne n’a succombé, tout le monde a résisté même si les muscle ont lâché.

Le dernier jour étant synonyme de photo de groupe, c’est avec plaisir que nous primes la pause et gravâmes le logo du stade dans le bac à sable de la longueur.

Les jambes en purée mais toujours motivés, quelques athlètes se sont encore osés à taper dans le ballon avant l’ultime repas à Vittel.

Après la crevaison et l’égarement de 2009 et le moteur surchauffé à l’aller de cette année, c’est sans grande surprise que l’on a appris que notre chauffeur s’étais fait interpellé par la gendarmerie nationale pour ne pas avoir fait de pause en venant nous chercher. C’est donc avec une heure de retard que nous quittâmes Vittel après avoir passé une magnifique semaine. Le voyage du retour fut pour nous l’occasion d’écrire ces quelques mots ; mais nous ne pouvons conclure cet article sans remercier nos trois coach Letizia (Ma Dalton), Claudine et Damien pour nous avoir coaché, accompagné, corrigé, accompagné mais surtout pour nous avoir supporté dans les deux sens du terme). 

Nous profitons aussi de la fin de cet article pour remercier le comité qui nous permet chaque année de participer à un super camp sportif et tous particulièrement son représentent a Vittel Nico le représentant des athlètes.

Et que vive le Stade ! ! !

Lauren, Léa, Loïc & Simon


1 Quick®

 2 Perpignan Tennis de Table Club

 3 Mac Donald menu plus à 11.30 FCH

 4 MTV

 5 adj. Se dit de toutes personnes étant : in, fashionista, belge et + si affinité

 6 « Sa pue la Belgique ! ! ! »

 7 Les rédacteurs sont au bords de l’épuisement…

8 Jacuzzi, sauna et hammam 

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